Le Monde d'Antaria

Les NOHN-KE

REGION

Partout. Ils sont originaires de la région du Désert Salé d’AMONN sur le continent de MAHINA. Le pays NOHN-KE n’a qu’une seule ville qui se trouve à la pointe Nord de la région : NOHN-KE-SAR.

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HABITANTS

PHYSIQUE

STYLE VESTIMENTAIRE

Ils sont la plupart du temps en tissus TECH ou traditionnels. Les hommes s’habillent de pantalons amples et de chemises amples. Ils portent souvent une cape. Les femmes s’habillent avec de longues robes. Malgré la chaleur, ils portent parfois plusieurs couches de vêtements et utilisent un couvre chef pour se protéger du soleil.

Les guerriers NOHN-KE s’habillent de cuir de JII-RHÂN et portent généralement une armure. Certains NOHN-KE aiment également s’habiller selon les modes et coutumes d’un autre pays. Les hommes portent de nombreux bijoux.

BIJOUX & ORNEMENTS : Les bijoux ont une signification particulière dans la culture NOHN-KE. Porter un bijou, c’est être quelqu’un et être libre. Un NOHN-KE sans bijou est un ESCLAVE. Bien entendu selon si le bijou est en bois, os, métal ou serti de pierres, l’individu sera considéré différemment. Les bijoux les plus courants sont les anneaux, colliers et bracelets. Les femmes mariées ont un percing en argent dans le nez (excepté pour la femme du chef de la caravane qui porte un percing en or). Les enfants ne portent généralement qu’un simple bracelet en argent à la cheville. Certains hommes couvrent leurs femmes et leurs enfants de bijoux plus précieux afin qu’ils soient plus respectés au sein de la caravane. Ils couvrent aussi de bijoux certains objets ou certaines armes. Par exemple, pour un guerrier, une arme en or ou sertie de pierres lui assure le respect des autres individus NOHN-KE.

Dans tous les cas, les NOHN-KE protège leurs bijoux car perdre ou se faire voler ses bijoux, c’est perdre son HONNEUR !

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SOCIETE

Le peuple NOHN-KE vit du commerce exclusivement. Pour cela, les villes sont organisées en caravanes (NOHN-KE-SHI). Parce qu’ils voyagent beaucoup, les NOHN-KE connaissent de nombreuses langues. Exceptés les marchands et les chefs, peu d’entre eux savent lire et écrire. La culture se transmet surtout oralement.

Les NOHN-KE sont réputés pour être amicaux avec les étrangers et ils aiment recevoir des invités surprises. Ils ont toutefois tendance à chercher les conflits et sont assez agressifs. On compte également beaucoup de voleurs chez ces individus (dans la pratique ET dans le marchandage).

Les NOHN-KE n’ont qu’un(e) époux(se) mais il est courant que l’un comme l’autre ait plusieurs amants ou maîtresse. Les familles sont très nombreuses (en moyenne 8 à 9 enfants par femme). Les dangers de la route sont une des causes de la mortalité infantile élevée.

L'une des plus célèbres fêtes Nohn-Ke est sans aucun doute celle que l'on a appellé la Tragédie Nohn-Ke. Le peuple nomade célèbrent ce jour là leurs Jii-Rhân en les décorant de guirlandes, étoffes, bijoux Jii-Rhân, etc... Ils chantent, dansent et font un banquet pendant une journée entière. Voir la Tragédie Nohn-Ke.

Parce qu’ils voyagent beaucoup il arrive fréquemment qu’un jeune NOHN-KE veuille partir à l’aventure. Excepté lorsqu’elle est très pauvre la famille ne pose aucun problème devant cette décision. Le jeune n’est pas rejeté, au contraire, et il sera toujours accepté et bien reçu lors de son retour (provisoire ou non) au sein de la famille. Seule la perte de ses bijoux peut lui valoir d’être rejeté.

LES FEMMES

Le statut des femmes est assez bas. Elles sont moins considérées que les hommes et n’ont pas accès aux postes importants et à la politique. En général les bijoux que portent les femmes sont des bracelets aux pieds et aux bras, des anneaux, des diadèmes ou des chaînes au cou. Ils sont toujours offerts par le mari ou le père. Quand une femme acquiert un bijou (achat, vol, cadeau), elle doit le donner au chef de famille.

Certains hommes puissants aiment toutefois beaucoup leur femme au point de les décorer de bijoux précieux afin qu’elle soit respectée par les autres hommes du NOHN-KE-SHI. C’est le cas de FAALHMA la vénérée femme de CALHIM que l’on reconnaît à son anneau serti d’un rubis dans le nez et son diadème de plusieurs pierres sur le front.

Par ailleurs, chez les NOHN-KE, ce sont les femmes qui choisissent leur époux. Et les cadeaux offerts à une famille sont toujours pour l’épouse et les enfants en premier lieu (sauf en ce qui concerne les bijoux).

Les femmes libres peuvent choisir d’avoir un statut dans la société. Elles ne peuvent plus se marier avec un NOHN-KE mais ont le droit d’avoir des amants. Ces femmes bénéficient du statut des hommes et sont respectées, mais il est excessivement rare d’y parvenir. Elles doivent pour cela agir de sorte à se faire respecter des autres hommes.

Il n’existe qu’une seule femme chef de caravane. Son nom est SALINA et elle est admirée et respectée par de nombreux NOHN-KE.

NOHN-KE-SHI

La vie des caravanes n’est pas toujours facile.

Le nombre d’hommes composant la caravane varie selon la taille de celle-ci. Une NOHN-KE-SHI est composé de véhicules ( ?), de tentes et de chariots ainsi que de nombreux animaux comme des JII-RHÂN, des chèvres, des chameaux (ou chevaux selon la région). Beaucoup de nomades marchent à côté des animaux. Les NOHN-KE-SHI ont souvent des esclaves pour aider dans certaines tâches et porter du matériel.

Les esclaves sont rarement des étrangers car les NOHN-KE sont les plus résistants face aux longues marches et à la chaleur du désert d’AMONN.

Le soir, la caravane établit un campement pour la nuit. Les nomades dorment dans les véhicules, chariots, roulottes ou encore dressent des tentes en toile et en cuir. Ils n’ont ni meubles ni lits. Ils dorment sur des peaux et des couvertures TECH à même le sol et se servent de coffres et de caisses pour les tables.

REGLES DE LA NOHN-KE-SHI :

• Au sein de la caravane, l’autorité appartient au chef de la caravane.
• La loi appliquée est la loi de la NOHN-KE-SHI.
• Le meurtre et le vol au sein de la caravane sont punis par des peines de bannissements voir de mort (cas extrêmes).
• Les esclaves et le matériel appartiennent à la NOHN-KE-SHI. Seuls les affaires personnelles appartiennent aux familles.
• Les étrangers doivent consigner leurs armes au chef de la caravane en échange de quoi ils sont assurés d’un accueil et d’une protection de la caravane.
  

ANIMAUX : Les NOHN-KE-SHI sont composées de nombreux animaux qui sert entre autre au déplacement et au transport de matériel. Seulement les NOHN-KE sont amenés à changer souvent de bêtes en fonction des pays qu’ils traversent (chameaux, dromadaires, chevaux, ânes…). On trouve également souvent des chèvres pour la viande et le lait.

Par ailleurs, toutes les caravanes comptent au moins deux ou trois JII-RHÂN. Ces énormes omnivores (environ 5 tonnes pour les plus légers) peuvent supporter à la fois de lourdes charges, de longues marches et des températures extrêmes (à l’origine, ces animaux viennent du désert salé d’AMONN). Les NOHN-KE sont les seuls individus d’ANTARIA à les avoir domestiquer.

Les JII-RHÂN sont des animaux assez lents, calmes et placides. Ils ont une peau en cuir bleu sombre. Pendant leur période de mue, les nomades récupèrent le cuir bleu et le vendent (très cher) partout dans le monde. Comme ce sont d’énormes animaux, les NOHN-KE doivent les laisser sur le continent lorsqu’ils se déplacent en mer. Mais ils se sont vite aperçus que les JII-RHÂN étaient un élément essentiel de la caravane c’est pourquoi ils ont emmené des bébés JII-RHÂN sur chaque continent. Ainsi quand une caravane quitte un continent et ses JII-RHÂN, elle en retrouve d’autres sur le nouveau continent.

Dans une caravane, un maître JII-RHÂN, le JII-KEN, s’occupe de ces bêtes. Le JII-KEN quitte rarement un continent et ne laisse jamais seuls ses animaux. C’est lui qui a le plus d’empathie avec les JII-RHÂN et qui connaît les meilleures routes du continent. Il est donc un guide pour la NOHN-KE-SHI. Au sein d’une caravane, il est particulièrement respecté.

Quand le JII-KEN trouve un successeur ou un remplaçant en qui il ait confiance pour ses animaux, il est libre de partir sur un autre continent voir de changer de métier. Mais la plupart font ce métier toute leur vie car ils aiment profondément la vie des JII-RHÂN.

RITES

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GOUVERNEMENT

Chaque caravane (NOHN-KE-SHI) est indépendante. Elle est gouvernée par un chef qui est l’homme le plus respecté et le plus puissant de la caravane. La ville de NOHN-KE-SAR, elle, est gouvernée par le seigneur RHALLIE.

Toutefois, l’homme qui représente le peuple NOHN-KE est CALHIM, le seigneur de la plus grande et de la plus puissante caravane. CALHIM est un homme craint et respecté partout dans le monde. Cependant il n’a aucun pouvoir sur les autres caravanes.

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NOHN-KE-SAR, la Capitale

La capitale NOHN-KE est une ville portuaire construite à l’intérieur de remparts de pierres dans les ruines d’une ancienne grande cité TECH. Actuellement, toute la ville est recouverte d’une pellicule de sable. Dans l’ensemble, les NOHN-KE-SHI sont souvent plus riches que la capitale. Les habitants vivent de la pêche, des cultures irriguées tout autour de la ville et du commerce. Les cultivateurs ont souvent quelques chèvres et des petites poules rousses.

Les habitations NOHN-KE sont rectangulaires et de plein pied. Des grandes toiles colorées sont tendues à l’intérieur des pièces du sol au plafond. Le sol est jonché de nombreux coussins, peaux et autres tissus TECH. Quant aux décorations, il s’agit le plus souvent de poteries. La plupart des habitations sont équipées de FILTRES (élément TECH) pour récupérer l’eau des pluies. Mais cette eau n’est utilisée que pour la boisson car dans cette région la sécheresse fait de l’eau une denrée rare et précieuse.

Il n’y a pas de TRAM à NOHN-KE-SAR mais les bateaux des nomades sont bien équipés côté TECH. La ville est cependant équipée d’électricité et les habitants possèdent des appareils TECH d’utilisation courante. La vente d’armes à feu est également très développée.

Les femmes de NOHN-KE-SAR sont d’excellentes potières et artisantes verrières.

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RELATIONS et COMMERCE

RELATIONS INTERNATIONALES

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COMMERCE